San Juan Del Sur - San Jorge - Ometepe

4 Janvier 2012

Il reste quelques heures avant de devoir rentrer le véhicule.
Apres le petit déjeuner, nous prenons la route sous les yeux de la statue du Christ surplombant la baie de San Juan Del Sur.



Nous roulons vers les plages de Marsella et Maderas non loin de San Juan Del Sur.
Playa Maderas est une plage très populaire, les surfeurs en herbes se mêlent aux plus expérimentés.



L’ambiance y est, beaucoup d’américains, il ne manque plus que la musique des Beach boys pour se croire en Californie.



De retour de notre petite escapade, nous avons tout juste le temps de boucler nos sacs et de sauter dans le bus pour Rivas. Comme d’habitude des taxis stationnés à proximité nous proposent de faire le trajet en taxi collectif (c'est bien plus cher).



Le trajet est très court, tout au plus une heure.


Chaque bus possède son chauffeur et son rabatteur-contrôleur. Celui-ci est chargé d'informer les gens en criant la destination. Le bus s'arrête partout, il suffit de lui faire signe. On monte sans payer, ensuite le rabatteur passe pour encaisser le prix du voyage.
A proximité de Rivas, on demande au rabatteur ou se trouve l’arrêt du bus pour San Jorge notre destination finale. A voir sa tête, on l’a déjà passé … peu importe, il nous demande d’attendre.


Quelques minutes plus tard, nous dépassons un petit bus qui s’avère être celui de San Jorge. Notre bus s’arrête, le rabatteur interpelle l’autre chauffeur et nous fait signe de changer de bus … super sympa !


Arrivé à San Jorge, l’embarcadère d’où partent les lanchas et les ferries pour Ometepe, nous sommes surpris par le nombre de personnes qui attendent.
Nous apprenons que le courant étant trop fort, aucun départ n'est possible dans l’immédiat.


Le lac nicaragua (8 264 km2)


Pas de problème, nous nous installons dans un petit comedore, nous commandons une assiette de tostones et de quoi boire.

Nous rencontrons Clive, un écossais parcourant le Nicaragua à vélo … non, ce n’est pas une faute de frappe. Les heures s’écoulent, les nouvelles ne sont pas bonnes, on ne partira pas aujourd’hui !
Nous quittons l'embarcadère à pied car les taxis collectifs exigent des prix trop élevés. 200 mètres plus loin, nous en trouvons un qui pour quelques cordoba nous dépose au parque central de Rivas.

Comme il est déjà 17h00, nous profitons des dernières minutes de soleil pour prendre quelques photos … sac sur le dos.






A Rivas, nous tombons nez-à-nez avec Clive, nous nous installons à l’hospedaje Lida et passons la soirée ensemble.